L'Observatoire mondial pour l’eau et la paix

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Quelques informations à propos de l'Observatoire mondial pour l'eau et la paix

Contexte

S’il est impératif de renforcer la coopération dans le domaine de l’eau, le niveau actuel de cette coopération laisse beaucoup à désirer. Les problèmes liés à l’eau occupent une place de plus en plus centrale dans les conflits armés de notre époque, une tendance qui traduit de manière alarmante le lien fondamental entre l’eau, la sécurité et la paix.

Quelque deux milliards de personnes n’ont toujours pas accès à l’eau potable. En outre, 40 % de la population mondiale vit dans des bassins où différents pays se partagent les fleuves et les aquifères, zones qui peuvent devenir le théâtre de conflits potentiels. Nous vivons une époque où les ressources et les installations hydrauliques sont de plus en plus attaquées et peuvent être utilisées comme des armes de guerre. La pénurie d’eau est exacerbée dans un monde où la population, qui ne cesse d’augmenter, est confrontée aux changements climatiques provoqués par l’activité humaine. Les chiffres augmenteront probablement à mesure que les effets du dérèglement climatique s’accentueront, entraînant une baisse des rendements, des sécheresses, des inondations et d’autres phénomènes météorologiques extrêmes. Les effets se feront sentir dans le monde entier, mais leur impact le plus grave sur la sécurité alimentaire et le déplacement des populations vulnérables touchera d’abord les pays en développement. La migration et l’urbanisation incontrôlée qui en résulte exacerberont encore davantage la pression sur des ressources en eau déjà limitées.
 
Ce sont ces considérations qui ont conduit quinze États membres de l’ONU à promouvoir la création du Panel mondial de haut niveau sur l’eau et la paix (ci-après le « Panel »), chargé d’examiner les liens entre ces deux domaines. Le Panel a été lancé lors d’une réunion ministérielle tenue à Genève le 16 novembre 2015, en réponse au besoin exprimé par les secrétaires généraux qui se sont succédé à la tête de l’ONU entre 1993 et 2013, et à la sensibilité internationale croissante à l’égard des questions se rapportant à l’eau. Ses travaux ont été appuyés par le Geneva Water Hub qui en a assuré le secrétariat. (www.genevawaterhub.org/fr/ressource/panel-mondial-de-haut-niveau-sur-leau-et-la-paix-secretariat (voir notre page Panel mondial de haut niveau sur l'eau et la paix

L’une des principales recommandations du Panel a trait à la mise en place d’un Observatoire mondial pour l’eau et la paix (OMEP), fonctionnant comme un réseau inclusif et assurant la liaison entre les partenaires travaillant sur la coopération dans le domaine de l’eau. Ceci dans le but de combler les graves lacunes auxquelles le secteur mondial de l’eau est confronté.

La « raison d’être » de l’Observatoire mondial pour l’eau et la paix

Il existe de nombreuses institutions internationales traitant des questions relatives à l’eau, allant des organismes de bassins versants ou des systèmes de gestion des cours d’eau transfrontières, aux instituts de recherche, en passant par les organisations intergouvernementales régionales et les organes, organismes, fonds et programmes des Nations Unies. Si ces organismes et mécanismes remplissent un rôle essentiel en favorisant la gestion conjointe de l’eau comme moyen de faire avancer la paix, il est nécessaire en même temps de reconnaître la nature et l’importance politique de nombreuses questions relatives à l’eau qui doivent être abordées sur le plan diplomatique, ce qui requiert une approche dépassant la seule dimension technique de la coopération dans ce domaine.

Pour comprendre le rôle distinctif de l’OMEP, il est important de remonter aux discussions sur la coopération internationale dans le domaine de l’eau, et de les relier à l’urgence croissante qui s’attache à l’adoption de nouveaux mécanismes de diplomatie de l’eau, capables de répondre aux défis du XXIème siècle..

En 2014, le rapport d’Adelphi, « The Rise of Hydro-Diplomacy » (Pohl et al.) a lancé un appel à plus d’agentivité, en d’autres termes à un pouvoir d’agir efficace par le biais d’un cadre institutionnel qui connecte les acteurs centraux et renforce et complète les cadres, les initiatives et les expertises qui existent pour coordonner et mettre en oeuvre l’action politique.

En février 2017, le Geneva Water Hub a organisé un atelier de réflexion de deux jours sur le thème « Hydro-diplomatie et incitations financières pour l’eau, la paix et la sécurité », afin de discuter des approches possibles pour encourager la coopération dans le domaine de l’eau en vue d’une consolidation plus large de la paix, et de formuler des recommandations d’action à l’intention du Panel. Cette table ronde a alimenté l’idée qu’il était nécessaire d’établir l’OMEP, laquelle avait été introduite pour la première fois dans un document de travail qui a préparé le terrain pour les discussions entre experts, sur la base de l’argument selon lequel, pour faire de l’eau un instrument de consolidation de la paix et de prévention des conflits, de nouvelles approches, ou une « hydro-diplomatie », étaient nécessaires.

Le rôle de l'Observatoire mondial pour l'eau et la paix

Plateforme mondiale, l’OMEP soutient les parties prenantes intéressées par le thème de l’eau comme instrument de coopération, afin d’éviter les tensions et les conflits et de promouvoir la paix. L’OMEP adopte une approche de gestion des connaissances et de facilitation discrète plutôt que celle traditionnelle de règlement des différends, de rétablissement ou de consolidation de la paix. Il s’agit d’un mécanisme qui associe tous les acteurs pertinents – du niveau mondial au niveau local –, ou des secteurs de l’eau, de la paix, de la sécurité, de la diplomatie et d’autres connexes, dans le but de faciliter la coopération politique autour de l’eau pour la paix.

En rapprochant et en tirant parti des compétences disponibles, l’OMEP cherche à améliorer la capacité limitée des acteurs internationaux à agir collectivement et efficacement aux niveaux politique et diplomatique. Il réunit les partenaires régionaux et locaux ainsi que les institutions crédibles et neutres engagées dans l’agenda pour l’eau, la paix et la sécurité, et facilite leur alignement. L’OMEP travaille à renforcer les liens du niveau global au niveau local par le biais de son réseau et de ses partenaires.

L'OMEP, une plateforme flexible de partenaires, se focalise sur une niche spécifique - promouvoir l'utilisation de l'eau comme un instrument de la paix. Ses objectifs comprennent :

  1. Analyse des perspectives régionales/sociétales innovantes sur l'eau et la paix; en réunissant des professionnels multidisciplinaires à l'échelle mondiale et co-création d'idées quant à la manière de faire de l'usage de l'eau un vecteur de paix.

  2. Diplomatie: en offrant la possibilité de discussions dans un contexte de « safe space » pour appuyer les initiatives susceptibles d'alimenter les décisions politiques et de rendre les expériences et connaissances sur la façon d'utiliser l'eau pour la paix plus accessibles pour les spécialistes des processus de paix diplomatiques.

  3. Diffusion des perspectives en utilisant les outils les mieux adaptés pour avoir un impact, qu'il s'agisse d'un rapport, une note politique ou une activité.

Les partenaires

L’OMEP est une plateforme mettant en réseau des noeuds de partenaires de nature différente, qui mènent des analyses approfondies et stratégiques sur l’eau en tant que véhicule de paix dans leur région et communautés de pratiques. Cette réflexion est engagée dans un esprit d’échanges créatifs et doit contribuer à créer un « espace discret », ou un espace sûr, pour avancer sur des thèmes clés de portée plus générique ou de portée globale.

L’OMEP a été lancé lors de la Semaine arabe de l’eau à la mer Morte, en Jordanie, en mars 2019. Il se présente comme une plateforme à structure allégée, ouverte à toutes les entités concernées par les questions unissant l’eau, la paix et la sécurité, et qui mettent en avant et en pratique le potentiel inexploité de la thématique de l’eau en tant qu’instrument de consolidation de la paix. Il comprend actuellement 11 partenaires.

Université américaine de Beyrouth

Institut Issam Fares pour la politique publique et les affaires internationales (IFI)

Programme sur le changement climatique et l’environnement

Inauguré en 2006, l’Institut Issam Fares pour la politique publique et les affaires internationales (IFI) de l’Université américaine de Beyrouth (AUB) est un institut indépendant qui se consacre à la recherche et aux politiques. Il vise à initier et élaborer des recherches pertinentes pour la formulation de politiques publiques dans l’ensemble du monde arabe. L’Institut cherche à jeter un pont entre le monde universitaire et la formulation de politiques, en menant des recherches de haute qualité sur les questions et les difficultés complexes auxquelles sont confrontées les sociétés libanaise et arabes dans les contextes internationaux et mondiaux changeants, en proposant des recommandations et des solutions pour le Liban et le monde arabe qui reposent sur des éléments probants, et en créant un espace intellectuel pour l’échange interdisciplinaire d’idées entre les chercheurs, les universitaires, les acteurs de la société civile, les médias et les responsables politiques.

Le programme sur le changement climatique et l’environnement a été lancé en 2008, dans le cadre de la stratégie de l’IFI consistant à mettre à profit les capacités importantes de recherche et d’analyse de l’AUB, dans le but d’orienter et de guider la formulation de politiques publiques au Liban et dans le monde arabe. L’objectif stratégique du programme est de formuler et d’influencer les politiques liées au changement climatique et aux problèmes environnementaux.

Université Corvinus de Budapest

Centre d’Asie centrale pour la recherche (CAR)

Le Centre d’Asie centrale pour la recherche de l’Université Corvinus de Budapest a été fondé en 2016, dans le but de mener des recherches appliquées en soutien à l’établissement de relations politiques et économiques entre la Hongrie et les pays d’Asie centrale, ainsi qu’autour de questions stratégiques de la région. Les programmes de recherche du CAR-CUB comprennent des études sur l’adaptation de l’expérience
de coopération de Visegrád4 (V4) - une organisation intergouvernementale réunissant la Hongrie, la Pologne, la Tchéquie et la Slovaquie - selon les conditions politiques et économiques d’Asie centrale, des analyses du marché pour les plus grandes sociétés hongroises, l’établissement d’un corridor commercial et énergétique en Asie centrale et du Sud passant par l’Afghanistan, la coordination et la direction du programme biennal « Water as a driver of sustainable recovery: economic, institutional and strategic aspects of water resources management in Central Asia » (L’eau en tant que moteur du relèvement durable : aspects économiques, institutionnels et stratégiques de la gestion des ressources en eau en Asie centrale), ainsi que des études sur le patrimoine institutionnel des pays d’Asie centrale.

Initiative pour donner une voix aux femmes dans la diplomatie de l’eau dans la région du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord (MOAN)

L’Initiative pour donner une voix aux femmes dans la diplomatie de l’eau dans la région du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord (MOAN) découle d’une collaboration en 2020 entre le Partenariat mondial pour l’eau-Méditerranée (GWP-Med) et le Geneva Water Hub (GWH) dans le cadre de l’élaboration d’une étude comparative couvrant cinq pays arabes (l’Égypte, la Jordanie, le Liban, le Maroc et la Palestine) consacrée à l’identification a) des similitudes et des différences dans les défis que rencontrent les femmes expertes dans le secteur de l’eau, et b) des besoins en renforcement des capacités relativement aux diverses compétences d’un diplomate de l’eau du XXIè siècle. Préparée par six expertes majeures dans le domaine de l’eau, l’étude s’appuie sur un exercice de cartographie réalisé en 2017 dans trois pays du Levant (le Liban, la Jordanie et la Palestine) et suit la même méthodologie d’enquêtes et d’entretiens ciblant les femmes dans les institutions liées au secteur de l’eau. Il est important de noter que le travail d’analyse dans le cadre des deux exercices de cartographie, auquel près de 100 femmes ont participé, a débouché sur l’établissement d’un réseau informel diversifié, dynamique et prometteur de femmes expertes en eau dans l’ensemble des cinq pays de la région MOAN.

Geneva Water Hub

Le Geneva Water Hub est un centre d’excellence spécialisé dans l’hydropolitique et l’hydro-diplomatie. Il a pour objectif de mieux comprendre la manière de prévenir les tensions liées à l’eau et de contribuer à leur prévention en tenant compte des conflits en matière d’utilisation de cette ressource entre les secteurs publics et les secteurs privés, entre les entités politiques et entre les États. Assumant le rôle de secrétariat du Panel mondial de haut niveau sur l’eau et la paix, le Geneva Water Hub s’engage dans la promotion et la mise en oeuvre des recommandations du Panel publiées dans un rapport datant de septembre 2017, intitulé « Une question de survie ». Le Geneva Water Hub vise à élaborer le programme d’hydropolitique pour aider à assurer une prévention anticipée des conflits liés à l’eau aux niveaux intersectoriel et transfrontière et à promouvoir
l’eau en tant qu’instrument de paix et de coopération, avec l’appui de la Direction du développement et de la coopération de la Suisse (DDC) et de l’Université de Genève.

Partenariat mondial pour l’eau-Méditerranée (GWP-Med)

Le Partenariat mondial pour l’eau-Méditerranée (GWP-Med) a été établi en 2002 en tant que section méditerranéenne de l’organisation intergouvernementale Partenariat mondial pour l’eau (PME). Aspirant à assurer la sécurité de l’eau dans la région de la Méditerranée, le GWP-Med travaille aux échelons régional, transfrontière et national, ainsi qu’au niveau des bassins et à l’échelle locale. Le GWP-Med promeut l’action et facilite le dialogue sur la gestion intégrée des ressources en eau (GIRE) ; apporte un soutien technique dans le cadre de la formulation de politiques ; met en oeuvre des activités de démonstration ; et contribue au développement des compétences et des connaissances. Les priorités stratégiques du GWP-Med comprennent la mise à profit de la cible 6.5 de l’ODD 6 sur la GIRE, l’adaptation face à la vulnérabilité et au changement climatique et la gestion des bassins hydrographiques/des eaux transfrontières. Les questions portant sur le genre et la jeunesse, ainsi que la participation du secteur privé au financement du secteur de l’eau, constituent également des aspects transversaux essentiels pour le GWP-Med. Le GWP-Med facilite une plateforme multipartite qui rassemble près de 100 institutions et organisations du secteur de l’eau, dont 10 réseaux régionaux majeurs issus de différentes disciplines en lien avec l’eau. Les ressources humaines du GWP-Med s’étendent dans 7 pays de la Méditerranée et son secrétariat est basé à Athènes.

Organisation des États américains (OEA)

Créée en 1948, l’Organisation des États américains (OEA) est la plus ancienne organisation régionale au monde. Elle a été établie en vue d’encourager, parmi ses États membres, « un ordre de paix et de justice, pour promouvoir leur solidarité, renforcer leur collaboration et défendre leur souveraineté, leur intégrité territoriale et leur indépendance ». Aujourd’hui, l’OEA réunit 35 États indépendants des Amériques et constitue le principal forum gouvernemental politique, juridique et social dans le monde occidental. Par le biais de son secrétariat général, l’OAS apporte une assistance technique à ses États membres dans le domaine du développement durable, y compris les ressources en eau.

Observatoire des citoyens sur la gouvernance et la sécurité (OCGS)

L’Observatoire des citoyens sur la gouvernance et la sécurité (OCGS) est une organisation non politique, sans but lucratif, qui a été créée le 3 février 2020 à Bamako, en vertu de la loi N° 04-038 du 5 août 2004. L’Observatoire fait partie du mouvement lancé par une nouvelle génération de « groupes de réflexion » qui mènent un éventail de recherches, d’analyses et d’actions. L’OCGS vise à promouvoir la bonne gouvernance et à renforcer la sécurité humaine au Mali et au Sahel. En tant que mécanisme de coordination nationale dont l’objectif est de développer les connaissances et d’assurer un suivi et un plaidoyer dans le domaine de la gouvernance et de la sécurité humaine, il offre aux acteurs locaux, nationaux et internationaux des analyses sur les tendances et les dynamiques majeures.

Secrétariat international de l’eau (SIE)

Le Secrétariat international de l’eau (SIE) est une organisation non gouvernementale basée à Montréal au Canada. Le SIE poursuit l’ambition d’un monde dans lequel l’eau est accessible à tous de manière équitable, en favorisant l’autonomisation des acteurs locaux ainsi que la coopération par-delà les frontières, entre les générations et les institutions. Le SIE a pour mission d’initier et de faciliter des actions qui contribuent à des changements systémiques positifs dans le cadre de la gouvernance de l’eau, depuis le niveau local jusqu’à l’échelle mondiale, ainsi qu’à l’autonomisation des acteurs impliqués dans le secteur de l’eau. L’un des trois principaux piliers de la stratégie du SIE est l’autonomisation de la #GénérationEau. La vision de la stratégie jeunesse du SIE s’inspire de l’idée du mouvement de la jeunesse pour l’eau – un mouvement qui s’appuie sur une mobilisation large, dynamique et connectée des jeunes à l’échelle mondiale.

Pôle Eau Dakar (PED)

Le Pôle Eau Dakar (PED) est une initiative en cours de mise en place au sein du ministère de l’Eau et de l’Assainissement du Sénégal. Elle vise à promouvoir l’hydro-diplomatie et la paix dans la sous-région ouest-africaine et au-delà, et à faire de la ressource « eau » un facteur de paix et de sécurité dans la sous-région. Sa vision est de bâtir un cadre de référence en Afrique pour catalyser la coopération, le dialogue inclusif, la gouvernance et le développement des connaissances et des solutions innovantes dans le secteur de l’eau. Avec pour ambition d’avoir un ancrage régional mais une portée internationale, le PED va ainsi constituer un trait d’union entre les multiples acteurs intervenants sur le domaine de l’eau et de la paix, ceci pour consolider les efforts déjà reconnus en matière de coopération et de gouvernance des ressources en eau partagées. Plus qu’un dispositif phare de mise en valeur de l’expérience sénégalaise et sous-régionale lors du Forum mondial de l’eau de Dakar 2022, le PED se profile comme un dispositif de suivi des recommandations de cette plateforme.

The Water Diplomat

« The Water Diplomat » est une ressource mensuelle gratuite d’actualités et d’informations publiée par OOSKAnews et le Geneva Water Hub. Diffusée tous les mois par courriel, la revue fait partie d’une plateforme médiatique mise en place en vue d’encourager notre monde à comprendre les recoupements existants entre l’eau, la paix, les conflits et la diplomatie. OOSKAnews est le plus grand éditeur au monde de nouvelles et d’informations internationales sur l’actualité dans le domaine de l’eau. La plateforme médiatique « The Water Diplomat » s’appuie sur le travail du Panel mondial de haut niveau sur l’eau et la paix qui, en 2017, a publié son rapport phare « Une question de survie ». Les médias fournissent des actualités et des informations portant sur un certain nombre des thèmes abordés dans le rapport du Panel, contribuant ainsi à sensibiliser le monde aux défis hydropolitiques de la planète.
Actualités et événements

 

 

Le premier rapport de l'Observatoire mondial pour l'eau et la paix

Le document suivant présente les points de vue des parties prenantes réunies au sein de L’Observatoire mondiale pour l’eau et la paix (OMEP). Ainsi que cela est expliqué dans la partie introductive de cette étude, cet organisme est un moteur et un facilitateur du dialogue, il promeut et soutient la recherche et crée une dynamique pour faire de l’eau un catalyseur de la paix. Grâce à ce rapport, l’Observatoire est également une plate-forme mondiale à travers laquelle divers acteurs peuvent mettre en avant leurs actions à cette même fin.

"A Global Home for Water and Peace" (en anglais)
par Mme Natasha Carmi, Specialiste "eau" principale