Les ressources

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Note politique n°7 - La gestion communautaire de l’approvisionnement en eau au Malawi : un défi à la durabilité plutôt qu’une solution

La gestion communautaire est considérée depuis les années 1990 comme essentielle pour garantir l’approvisionnement en eau propre dans les villages ruraux des pays à faible revenu. Le concept de gestion communautaire se définit comme « l’idée que les communautés doivent exploiter et entretenir leurs propres systèmes d’approvisionnement en eau » (Schouten and Moriarty, 2003). Le cœur du modèle de gestion communautaire repose sur le « Comité du point d’eau », typiquement un groupe de 6 à 10 villageois, soit élus, soit désignés par la communauté pour avoir la responsabilité d’un point d’accès à l’eau tels qu’un forage avec une pompe manuelle, une source protégée ou un robinet à gravité.

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Note politique n°6 - Politique ordinaire de l’eau : Des politiques de réforme de l’eau aux configurations des ressources hydriques en Afrique rurale.

Souvent, à la déception des décideurs politiques, le débit de l’eau en agriculture suit rarement les directives. Surtout étant donné la nature notoirement capricieuse de l’eau, on sait relativement peu de choses de ce qui se passe entre les politiques du gouvernement sur papier et les pratiques habituelles de gestion de l’eau dans les paysages aquatiques ruraux.

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Note politique n°4 - Gouvernance transfrontalière du Sénégal et du Niger : analyse historique et identification des facteurs déterminants

L’Organisation pour la mise en valeur du Fleuve Sénégal et l’Autorité du bassin du Niger figurent comme des exemples de bonnes pratiques de gouvernance de fleuves internationaux. Leurs compétences dépassent le cadre restrictif de la gouvernance des flux et en font de réelles agences de développement économique et social. Malgré leur proximité, ces organisations sont différentes et la forge de leur succès a dû articuler des caractéristiques fortement contingentes. Nous souhaitons donc comparer l’évolution de la gouvernance autour des fleuves Sénégal et Niger afin de mettre en exergue les facteurs communs du succès de la coordination et les spécificités de chaque cas, assurant la transposabilité de chaque modèle.

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Note politique n°5 : Le statut d’ouvrages communs et le partage des bénéfices dans les bassins du fleuve Sénégal et du fleuve Niger

L’Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal (OMVS) et l’Autorité du bassin du Niger (ABN) présentent des régimes singuliers sur la maîtrise et l’exploitation rationnelle des ressources en eau. Afin de concrétiser l’idée de la communauté d’intérêts et de droit qui doit exister autour des ressources en eau partagées, les deux institutions de bassin ont développé des modalités de gestion d’ouvrages et de partage des bénéfices qui tiennent compte des spécificités de deux bassins.

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Note politique n°3 - Reconfiguration de la politique de l’eau en Asie centrale : une réflexion sur la réalisation de la GIRE en Ouzbékistan et au Kazakhstan

Dans le cadre de la Géographie politique de l’eau, cette contribution examine les logiques de mise en œuvre de politiques de l’eau en Asie centrale. En tenant compte des interactions entre les politiques de l’eau, les pouvoirs politiques et les territoires hydrauliques, elle analyse la mise en œuvre intégrée de la Gestion intégrée des ressources en eau (GIRE) – le paradigme de l’eau mondiale encouragé par les organismes de développement depuis le milieu des années 90 – ses logiques et justifications en Ouzbékistan et au Kazakhstan au niveau local/des bassins (Vallée de Zeravshan moyenne, Ouzbékistan / Vallée de l’Arys, Kazakhstan).

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Note politique n°2 - L’entrée en vigueur de la Convention des Nations Unies sur le droit relatif aux utilisations des cours d’eau internationaux à des fins autres que la navigation (1997)

L’entrée en vigueur de la Convention des Nations Unies sur le droit relatif aux utilisations des cours d’eau internationaux à des fins autres que la navigation (ci-après la Convention des Nations Unies de 1997) le 17 août 2014 constitue une étape importante pour le développement du droit international de l’eau.

 

Note Politique n°1

La gouvernance multi-niveau
La Genève internationale comme catalyse de la gouvernance de l’eau

Note Politique n°1 - La gouvernance multi-niveau : la Genève internationale comme catalyseur de la gouvernance de l’eau

Genève constitue un pôle décisif pour l’évolution et la conception d’une gouvernance mondiale. La concentration d’organisations majeures au niveau international confère à la « Genève Internationale » une stature prépondérante dans de nombreux secteurs. Les questions de gouvernance de l’eau ne font pas exception avec la présence d’une multitude d’acteurs impliqués dans des niveaux allant du local au global.